Télécharger GRATUITEMENT le livre : Les stratégies gagnantes pour recruter LES PERLES RARES à l’international
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Parfois, en tant qu’employeur, il peut sembler que vous avez déployé tous les efforts nécessaires, voire plus, pour faciliter l’intégration de vos travailleurs étrangers temporaire. Cependant, la véritable question demeure : qu’est-ce que signifie réellement « ce qu’il fallait » dans ce contexte ?
Dans notre exploration du processus d’accueil et d’intégration des travailleurs étrangers, nous allons scruter les aspects cruciaux qui définissent une expérience d’intégration réussie. Souvent, dans le domaine de l’assistance à l’intégration, nous sommes enclins à projeter nos propres besoins de satisfaction, une approche qui peut s’avérer contre-productive. Alors, comment pouvons-nous garantir que nos actions sont alignées sur les réels besoins de nos travailleurs nouvellement arrivés ?
Nous reconnaissons que chaque vie est une entité personnelle, et cette singularité est amplifiée lorsque la personne que nous accueillons provient d’horizons différents, apportant avec elle son bagage culturel et linguistique. Revenons à l’essentiel.
Quels sont les besoins fondamentaux d’un être humain ? À la base, il existe des éléments essentiels, interdépendants les uns des autres, qui contribuent tous à une vie saine et équilibrée. Mettons-nous à la place de notre travailleur nouvellement arrivé, plongeons-le au cœur de ces éléments cruciaux, et examinons comment ils s’entrelacent dans le processus d’intégration.
Nous avons de la chance de vivre au Québec dans un environnement où l’air est pur par rapport à d’autres pays industrialisés et l’oxygène permet la survie des cellules, n’est-ce pas ? Le travailleur doit s’adapter à ce nouvel environnement, de surcroît avec un climat différent de son pays d’origine, ce qui peut affecter sa santé respiratoire. D’autres éléments devront prendre la relève pour l’aider à continuer de respirer un air propre mais surtout tempéré à ses poumons.
L’accès à une eau potable et propre est un droit essentiel, surtout si les normes de potabilité diffèrent de son pays d’origine. Nous avons la chance que le Canada soit le pays de l’eau et que le Québec, en sus de la beauté de l’impérial du Fleuve Saint-Laurent, recense 500 000 lacs.
Les étendues d’eau représentent 12% de la superficie de la Belle Province. Cette richesse est une des plus importantes et fait la fierté du travailleur que vous accueillez ! Il tourne le robinet… pour boire ! Pour vous c’est très simple mais pour certains pays, c’est un luxe.
Voici le véritable casse-tête. Que mange le travailleur étranger que vous venez d’accueillir ! Il doit trouver des sources alimentaires qui répondent à ses besoins nutritionnels tout en s’adaptant aux produits locaux et aux différences culinaires. Le Québec a beaucoup évolué au niveau de son réseau alimentaire multi-ethnique.
Se loger de manière adéquate est l’une des premières nécessités, cela implique souvent de comprendre le marché immobilier local et les spécificités du logement au Québec. La situation actuelle avec une crise teintée de rouge vif a un effet quelque peu traumatisant autant côté employeur, qui ne l’ont pas évalué si grave que côté travailleur qui a l’impression que son salaire est englouti pour son habitation !
Eh oui, c’est une réalité qu’il ne faudra plus faire passer au 2ème niveau des informations à donner pour l’intégration. Ce que l’employé doit comprendre est que vous avez des engagements envers lui où vous devez lui trouver des solutions pour qu’il puisse se trouver un logement abordable et convenable la cohabitation est une solution, par exemple mais encore savez-vous comment la gérer Du sommeil qui est nécessaire pour récupérer physiquement et psychiquement de notre fatigue.
S’équiper de vêtements appropriés 4 saisons et particulièrement pour les hivers rigoureux du Québec reste un impératif pour tout nouvel arrivant. N’oubliez pas que s’habiller en oignon est un des premiers concepts qu’ils apprennent.
Toutefois, ont-ils les moyens ? C’est là que votre rôle d’employeur prend la relève et organise un « circuit » d’habillement. A vos Tuques ! mitaines et bottes pour accompagner la grosse veste et le manteau… Que faire lorsque l’habillement ethnique d’origine impose certaines vêtements et accessoires ? Eh bien, en hiver, tous les chats sont gris ! Une fois bien emmitouflé, nous portons ce que nous voulons en-dessous ! Et ce n’est pas à nous de les juger ! Comprennent-ils nos tuques à oreilles ? pas sûr !
Maintenir une bonne hygiène personnelle dans un nouvel environnement est essentiel pour la santé et le bien-être. Nous avons vu l’élément de l’eau et du toit ! L’hygiène entre dans cette catégorie facilement et est omniprésente au Québec.
Tous les logements disposent de salle de bain, de cuisine, de toilettes. Il suffit de regarder les rues pour voir que tous les espaces sont propres, nettoyés (sauf quand la neige fond !). Depuis la COVID, les règles d’hygiène sont restées dans beaucoup d’entreprise. Le port du masque est devenu une norme acceptée, les gants de protection un outil courant, et le papier essuie-tout un indispensable pour assurer la propreté en tout lieu et à tout moment. …
Bref, chaque travailleur bénéficiera et appliquera les règles d’hygiène de son environnement. Il faudra les montrer… et n’oublions pas qu’être « propre » est plus une tendance personnelle qu’une tendance culturelle !
Établir des liens sociaux et professionnels est fondamental pour l’intégration et le soutien émotionnel. Nous parlons d’intégration culturelle mais également professionnelle. Les interactions doivent d’abord avoir lieu en milieu de travail avec ses collègues et définitivement dans les 24 premières heures de l’accueil que ça passe ou… ça casse !
Il faut préparer et faciliter cet échange et le rôle des ressources humaines, des équipes d’encadrement est primordial. Leur rôle sera de trouver la petite clé qui va ouvrir la porte de la confiance de leurs travailleurs étrangers pour qu’ils puissent parler sans crainte et en toute complicité.
Tant que cette ouverture ne se fait pas, vous devrez surveiller le bien-être émotionnel et mental pour que les coups de « blues » n’arrivent pas et que l’employé se sentant mal compris reparte !
Pour le travailleur s’engager dans une routine d’exercice qui l’aidera à maintenir en santé favorisera également son adaptation au nouveau mode de vie. Tout le monde n’est pas sportif (et je dis Mea Culpa en premier !) et une autre raison de ne pas en faire sera également celle de ne pas avoir de temps !
En revanche, profiter de cet élément pour en faire un véritable outil d’intégration est une occasion en or… Organiser des matchs de foot/soccer, des courses à obstacles, concours de pêche (oui, c’est du sport !), du cyclisme pour des levées de fonds ou encore leur apprendre à patiner peut être avez-vous de la graine de hockeyeurs ou de patineuses artistiques parmi vos recrues ?
Quoiqu’il en soit, c’est le moment où jamais vous pouvez organiser vos équipes internationales pour vos matchs internes ou avec l’entreprise voisine ! et n’oubliez pas le sport d’hiver le plus réputé apprenez leur comment déneiger la voiture, l’allée avec quelle pelle et sans mal de dos pour qu’ils viennent travailler le lundi matin !
Les soins médicaux universels ! Le rêve du Monde entier ! La première chose que nous apportons comme information à nos travailleurs est de savoir comment accéder au système de santé québécois, comprendre ses droits et ses responsabilités en tant que bénéficiaire et s’inscrire à la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).
Une fois arrivée sur place ils ne savent plus ! Nous avons découvert que certains employeurs avaient recruté des travailleurs étrangers arrivés comme « touristes » et qu’ils n’ont jamais été enregistrés dans le système de la RAMQ ! Eh bien, assurez-vous également que votre employé vous présente sa preuve d’inscription et ensuite sa carte d’assurance maladie.
Encouragez-le à passer des examens de prévention (pas toujours évident de trouver un médecin de famille !) et surtout n’oubliez pas en tant qu’employeur vous devez prendre à votre charge une couverture d’assurance pour les premiers mois de carence, 3 en général, du temps que la RAMQ prenne la relève.
Le plus important est apprendre le français et pas n’importe lequel… Le français québécois et le français « standard » par la suite pour passer l’examen pour déposer la demande de résidence permanente. L’éducation est également celle de comprendre la culture locale, et s’adapter à son environnement de travail québécois.
Si vous voyez que votre employé possède des talents à développer, intégrez le dan de la formation de développement continu mais également sur les formations axées sur les capacités cognitives et de la responsabilisation. Et justement, pourquoi ne pas lui demander de donner également des formations sur son savoir-faire et… savoir-être !
C’est un échange continu qui doit se créer et ce n’est pas si évident que ça. La réussite de cette entreprise repose sur la confiance réciproque qui s’établira entre employeur et employé, une clé de voûte souvent moins évidente à poser qu’il n’y paraît.
L’équipe MOBILITÉ de PHOENIX-GMI vous accompagne dans vos défis d’accueil et d’intégration de vos travailleurs étrangers temporaires. N’oubliez pas que la clé du succès pour pérenniser votre recrutement est cette étape ultime, si facilement critiquable.
Transparence, communication continue vous permettront d’atteindre le succès de cette mission. Nos conseillères et conseillers en mobilité sont à votre disposition pour vous apporter ce petit quelque chose qui ne se trouve ni sur un site, ni sur un guide car… c’est leur savoir-faire et expérience de temps qui les ont enrichis.
Le temps est arrivé pour vous de tirer le bilan de ce que vous avez fait. Évaluez également les succès et les échecs ! Ne soyez pas gêné d’être critique envers vous car remettre en question ses propres pratiques pour pouvoir les améliorer fait de vous un Gagnant sur toute la ligne.
Pour le recrutement de vos prochains travailleurs étrangers temporaires, vous saurez exactement ce qui a fonctionné, ce qui doit être amélioré ou simplement à être oublié !
Faites l’exercice dans le sens inverse également avec ce tableau. Projetez-vous à l’étranger, un pays quelconque comme celui d’où viennent vos travailleurs et évaluez quels sont les éléments essentiels pour lesquels vous ne pourriez passer outre. C’est simple ! tous sont importants pour l’intégration de vos travailleurs étrangers temporaires.
PHOENIX-GMI est une entreprise québécoise qui œuvre dans les domaines du recrutement international et de l’immigration d’employés ainsi que des membres de leur famille. Elle offre une solution à la pénurie de main-d’œuvre, favorise la croissance des entreprises et l’intégration de travailleurs qualifiés dans la société québécoise.
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© PHOENIX-GMI, Recruteur international
Permis N°CNESST : AR-2000004
Selin Deravedisyan-Adam
Cofondatrice
Directrice de l’immigration
et experte-conseil en mobilité internationale
[email protected]
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 312
Parcours professionnel
Femme de terrain, pionnière et passionnée, Selin consacre sa carrière à la mobilité internationale depuis 1993. Sa vaste expertise et la crédibilité que le marché lui accorde puisent dans son histoire familiale. Elle-même enfant de l’immigration, elle est passée de la Turquie à la France, puis une fois adulte, de la France au Québec. Elle a baigné tôt dans l’administration, le travail social et la linguistique qui sont le propre des travailleurs qui soutiennent l’immigration.
Mariée en France à l’âge de 20 ans avec Christian, cofondateur de PHOENIX-GMI, elle immigre pour une deuxième fois et choisit la Ville de Sherbrooke au Québec comme terre d’accueil en 1999. Elle collabore à cette époque avec l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke puis est invitée par le ministère de l’Éducation à donner un cours aux adultes sur le lancement d’entreprises. En parallèle, elle développe son entreprise en mobilité internationale qui deviendra PHOENIX-GMI en 2013.
Dès 2008, Selin est consultante réglementée en immigration canadienne et obtient par la suite sa licence pour la province de Québec. Elle se positionne comme une référence en matière des statuts basés sur les permis de travail tant au Québec qu’au Canada. Québec International, un organisme paragouvernemental œuvrant dans la région de Québec et de Chaudière-Appalaches, lui demande de jouer les rôles d’experte-conseil, de formatrice, de participante à des tables de concertation et d’agente de développement stratégique auprès de ses membres.
En 2018, elle est élue présidente de l’Association canadienne des conseillers professionnels en immigration pour le Québec. Cette nouvelle fonction l’amène à travailler directement avec les autorités d’immigration fédérale et provinciale, tout en s’assurant que la profession soit éthiquement et dignement représentée.
Aujourd’hui, elle initie son équipe aux procédures de recrutement international et de soutien à l’immigration. De surcroit, elle vit au quotidien son rêve d’aider des gens de tous les continents à vivre une immigration et une intégration sereines dans la société québécoise.
Christian H. Adam
Cofondateur
Directeur général et responsable du recrutement international
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 311
Parcours professionnel
L’excellence marque depuis toujours le parcours de Christian. Étudiant d’origine arménienne, il immigre de Turquie vers la France où il poursuit avec brio des études en génie chimique. Après quelques années dans l’industrie du caoutchouc, il se positionne comme expert, dirige des laboratoires et voyage à travers l’Europe. Il diversifie alors ses activités vers des secteurs connexes : automobile, équipements militaires et santé.
En 1999, dans le contexte trouble de la guerre du Kosovo qui a des répercussions partout en Europe, il choisit d’immigrer au Québec avec Selin, cofondatrice de PHOENIX-GMI, et leurs enfants. Il dirige les laboratoires de recherche et développement de deux entreprises sherbrookoises, cheffes de fil dans l’industrie du polymère et s’initie à la gestion des ressources humaines et à l’administration en contexte syndiqué. En parallèle avec cette carrière florissante et cette intégration réussie, il développe des approches multiculturelles pour les adapter à des formations spécialisées en lancement d’entreprise et coache de nouveaux immigrants.
Sur cet élan de soutien à la mobilité internationale, il cofonde PHOENIX-GMI et lance en parallèle un cabinet-conseil dans le domaine du caoutchouc. Sa clientèle, provenant des différentes régions du Québec, le sollicite pour le recrutement de postes variés allant de la production à la finition de produits en passant par les procédés de qualité.
Christian fait aujourd’hui œuvre de médiateur interculturel. Il est LA personne qui excelle à orchestrer les solutions de recrutement international qui permettent d’une part, à nombre d’entreprises québécoises, de résoudre leur pénurie de main-d’œuvre et d’autre part, à de nombreux travailleurs spécialisés, de vivre leur rêve d’immigration au Québec.