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Vous pensez recruter un travailleur étranger au Québec parce que votre entreprise refuse certaines commandes ?

Découvrez comment recruter un travailleur étranger au Québec en quelques étapes.

Quand la production d’une entreprise repose, totalement ou partiellement, sur des profils de postes en pénurie de main-d’œuvre, il est nécessaire de faire des choix pour le bien de l’entreprise.

L’employeur et la direction des ressources humaines doivent trouver des travailleurs coute que coute pour combler tous les postes, et cela, afin de soutenir la production.

Pour le directeur des ressources humaines, le défi est de taille. On trouve sur le sol québécois un certain nombre de travailleurs disponibles. Ils sont insuffisants pour combler tous les postes en demande. Lorsqu’il a placé ses annonces sur les différents sites internet et réseaux de recrutement québécois et qu’il n’y arrive pas, le ou la responsable des ressources humaines commence à considérer plus sérieusement la solution du recrutement international.

Mais le recrutement international est un monde inconnu à démystifier, car pour les novices, surtout s’ils sont mal encadrés, il peut amener de mauvaises surprises. Il vaut mieux donc être préparé et bien accompagné pour cheminer en toute confiance dans le processus de recrutement international.

Pour vous accompagner dans cette démarche, nous sommes là pour vous. Vous trouverez dans cet article les principales étapes pour recruter un travailleur étranger au Québec.

Choisir le bassin de recrutement de vos travailleurs étrangers

Quand vous recrutez à l’international, l’une des questions à vous poser est « où recruter » ? Chaque zone géographique a des avantages et des inconvénients. Une bonne entreprise comme PHOENIX-GMI vous aidera à les comprendre et à décider celle qui correspond le mieux aux problématiques de votre entreprise.

Car le choix du bassin de recrutement a un impact sur votre performance.

Beaucoup considèrent en premier lieu le choix de la langue. Certains pays sont principalement francophones, anglophones ou hispanophones. Les personnes francophones parleront plus rapidement la même langue que vos collaborateurs tandis que les hispanophones auront besoin de certaines adaptations. Mais si un francophone peut sembler plus fluide pour s’exprimer, il arrive avec un Français différent du français québécois. À l’inverse, un hispanophone se francisera directement à la «québécoise» et adoptera tout de suite les termes de votre milieu de travail. Au final, nous vous recommandons donc de considérer davantage la motivation d’intégration du candidat et son projet de vie au Québec que sa langue natale.

La culture d’origine du candidat est donc importante. Chaque pays a des valeurs différentes. Par exemple, pour certains, la capacité d’adaptation est très valorisée, d’autres sont extrêmement travaillant, etc. Et dans l’imaginaire collectif de ces pays, le Canada n’a pas forcément la même place. La culture a un impact direct sur votre production, la rétention de vos employés en place et des travailleurs étrangers que vous recrutez.

Ensuite, nous prenons en compte les parcours de formation de chaque pays et mesurons leur adéquation avec le savoir-faire dont vous avez besoin pour soutenir votre production.

Et pour finir, le processus d’immigration a une durée différente selon les pays.

Il est donc essentiel de se poser les bonnes questions et de peser le pour et le contre pour chaque bassin d’emploi. Vous identifierez ensuite la solution qui vous demandera, en bout de ligne, le moins d’effort.

Présélection des travailleurs étrangers

Lorsque le pays est choisi, vous devez attirer ces talents. Il est quasiment impossible, sans contacts sur place, d’y trouver soi-même de futurs travailleurs étrangers à recruter pour le Québec.

Vous devrez donc passer par une entreprise qui a un réseau, des partenaires, ou une partie de son équipe sur place, afin de mettre des annonces et de vous mettre en contact avec des travailleurs étrangers potentiels.

Mais la présélection de travailleurs étrangers demande plus de connaissances que pour des travailleurs québécois. Sans intermédiaire pour vous aider à traduire le potentiel de ces talents, comment saurez-vous interpréter les CV ou vous assurer qu’une compatibilité est possible ?

Chez PHOENIX-GMI, nous connaissons très bien les cultures, les formations et les motivations des personnes que nous présentons. Si vous voulez vous assurer de recruter les bons travailleurs étrangers, vous aurez besoin d’un intermédiaire qui effectue la transition entre vous et eux.

Nous vous recommandons d’avoir un intermédiaire qui connaît très bien vos attentes en termes de savoirs, savoir-faire et savoir-être et qui vous évite la difficulté de devoir trier vous-même des CV que vous avez du mal à appréhender correctement.

De la même manière, en utilisant les services de PHOENIX-GMI, vous pourrez compter sur nous pour sonder nous-même le candidat afin d’évaluer ses réelles valeurs, ses motivations et son projet de vie au Québec dans le but de vous assurer, non seulement de sa capacité de production, mais aussi de sa rétention sur le long terme. Aussi, nous n’avons pas de liste de candidats ou de banque de CV, et chaque recrutement est une nouvelle sélection totalement dédiée au besoin de notre client employeur.

Sélection des travailleurs étrangers à recruter pour le Québec

Une fois que vous aurez une pré-sélection de candidats intéressants, autant pour leur parcours, le savoir-faire que leur profil, vous serez en mesure d’affiner vos choix. Ce sera alors le moment de passer des entretiens pour voir dans quelle mesure le courant passe, comme on dit.

Avant la situation de la Covid, les employeurs aimaient particulièrement se déplacer en mission sur place, et il est certain que cela permet de découvrir pleinement comment les travailleurs se comportent, de les voir effectuer leurs tests techniques pour bien appréhender leur niveau, et aussi de découvrir l’environnement et la culture dans laquelle ils vivent.

Maintenant que beaucoup de travail est effectué à distance, les employeurs sont plus nombreux à considérer les avantages du recrutement à distance. En effet, cela permet de gagner du temps. Les tests techniques peuvent être réalisés à distance, filmés par une équipe sur place et restitués à l’employeur, ce qui suffit à certains employeurs.

Sachez tout de même que les déplacements pour recruter en mission réelle sur place sont toujours possibles et que les contraintes qui existent pour les voyageurs sont en voie de diminuer courant 2021.

Démarches d’immigration pour recruter un travailleur étranger au Québec

Les démarches d’immigration sont à effectuer en parallèle au recrutement et elles commencent même avant. Pourquoi ? Car le choix des postes et la façon dont vous les formulez a un impact sur le processus d’immigration, sur le choix des talents et sur d’autres aspects de votre entreprise sur lesquels vous aurez besoin d’être conseillés.

Vous déterminerez aussi quel est le programme d’immigration adapté à votre situation.

Chaque programme a des démarches spécifiques à effectuer. Les démarches dont on entend le plus parler sont l’EIMT, le CAQ et le permis de travail.

Pour ceux qui devront soumettre une demande d’EIMT (Étude d’Impact sur le Marché du travail), il s’agira de monter un dossier précis pour démontrer que ce recrutement à l’international n’a aucun impact négatif sur le marché du travail canadien et ne retire aucun emploi à des travailleurs québécois. En parallèle,  le gouvernement provincial québécois décide quels immigrants il accepterait de laisser de venir sur le sol Québécois et évalue les conditions de travail ainsi que le profil des candidats. Il délivre alors le CAQ (Certificat d’Acceptation du Québec) conjointement à l’EIMT.

Ensuite, le gouvernement fédéral intervient de nouveau pour l’étude de la demande et émet la lettre d’approbation du permis de travail et le visa le cas échéant. Certains profils, postes et situations, permettent de solliciter directement un permis de travail en soumettant une offre d’emploi directement auprès d’IRCC (Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada) dans le cadre du programme de mobilité internationale.

Une fois que le fédéral accepte que vos futurs travailleurs étrangers temporaires viennent travailler sur le sol canadien, il est nécessaire d’envoyer des instructions de départ à ces derniers, puis de prendre en compte les contraintes de la Covid, pour que les travailleurs étrangers temporaires puissent venir sur le sol canadien. Ces instructions ne sont pas simplement de leur faire parvenir la copie de leur EIMT-CAQ et contrat de travail mais des informations précises pour qu’ils soient autorisés à embarquer dans l’avion ,mais également à présenter à l’agent d’immigration des Services Frontaliers canadiens (ASFC) à leur arrivée où ils recevront leur permis de travail.

Intégration des travailleurs étrangers recrutés pour le Québec

Le travail d’intégration commence avant l’arrivée des travailleurs étrangers sur le sol québécois. Il est recommandé de sensibiliser et de préparer les employeurs et leurs équipes à l’arrivée de ces nouvelles recrues.

Par ailleurs, les travailleurs étrangers temporaires s’intègreront beaucoup mieux s’ils connaissent bien la culture du pays et de l’entreprise qui les accueille. Plusieurs programmes d’immigration (et c’est un plus pour l’intégration) demandent à l’employeur de fournir aux travailleurs étrangers temporaires un logement ou une chambre meublée à son arrivée.

Les travailleurs étrangers temporaires devront également comprendre le fonctionnement administratif de notre pays, obtenir un NAS, un forfait cellulaire, ouvrir un compte en banque, un permis de conduire pour le Québec, etc. Ils devront prendre des repères, savoir où faire leurs courses, comment se distraire, et prendre soin de leur sécurité et leur santé.

En attendant de pouvoir venir sur le sol québécois, nous vous recommandons d’encourager vos futurs travailleurs étrangers non francophones à commencer leur francisation.

Toutes ces étapes garantissent la meilleure intégration des travailleurs étrangers temporaires, mais aussi leur rétention sur le long terme.

Et maintenant, que faire ?

Bien entendu, pour chacune de ces étapes, il est toujours possible de vous débrouiller seul.

Mais le temps passé à comprendre les tenants et les aboutissants est vraiment important, surtout que l’on ne sait pas toujours vers quelle ressource se tourner, et que la plupart d’entre elles donnent des réponses et des solutions partielles.

En revanche, sachez que PHOENIX-GMI accompagne les employeurs dans chacune de ces étapes et prend en compte votre culture d’entreprise pour définir dans sa globalité les stratégies de recrutement international, d’immigration et d’intégration des travailleurs étrangers temporaires.

Vous avez des questions précises ? Nous avons les réponses ! Contactez-nous !

PHOENIX-GMI offre des services en recrutement international et en immigration pour les entreprises québécoises et canadiennes, et les candidats voulant réaliser un projet de vie au Canada.

Notre équipe pluridisciplinaire, rigoureuse et dévouée, met en place des stratégies concrètes et personnalisées pour ses clients.

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Selin Deravedisyan-Adam Cofondatrice Directrice de l’immigration et experte-conseil en mobilité internationale

Selin Deravedisyan-Adam

Cofondatrice

Directrice de l’immigration
et experte-conseil en mobilité internationale

[email protected]
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 312

Parcours professionnel

Femme de terrain, pionnière et passionnée, Selin consacre sa carrière à la mobilité internationale depuis 1993. Sa vaste expertise et la crédibilité que le marché lui accorde puisent dans son histoire familiale. Elle-même enfant de l’immigration, elle est passée de la Turquie à la France, puis une fois adulte, de la France au Québec. Elle a baigné tôt dans l’administration, le travail social et la linguistique qui sont le propre des travailleurs qui soutiennent l’immigration.

Mariée en France à l’âge de 20 ans avec Christian, cofondateur de PHOENIX-GMI, elle immigre pour une deuxième fois et choisit la Ville de Sherbrooke au Québec comme terre d’accueil en 1999. Elle collabore à cette époque avec l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke puis est invitée par le ministère de l’Éducation à donner un cours aux adultes sur le lancement d’entreprises. En parallèle, elle développe son entreprise en mobilité internationale qui deviendra PHOENIX-GMI en 2013.

Dès 2008, Selin est consultante réglementée en immigration canadienne et obtient par la suite sa licence pour la province de Québec. Elle se positionne comme une référence en matière des statuts basés sur les permis de travail tant au Québec qu’au Canada. Québec International, un organisme paragouvernemental œuvrant dans la région de Québec et de Chaudière-Appalaches, lui demande de jouer les rôles d’experte-conseil, de formatrice, de participante à des tables de concertation et d’agente de développement stratégique auprès de ses membres.

En 2018, elle est élue présidente de l’Association canadienne des conseillers professionnels en immigration pour le Québec. Cette nouvelle fonction l’amène à travailler directement avec les autorités d’immigration fédérale et provinciale, tout en s’assurant que la profession soit éthiquement et dignement représentée.

Aujourd’hui, elle initie son équipe aux procédures de recrutement international et de soutien à l’immigration. De surcroit, elle vit au quotidien son rêve d’aider des gens de tous les continents à vivre une immigration et une intégration sereines dans la société québécoise.

Christian H. Adam Cofondateur Directeur général et responsable du recrutement international

Christian H. Adam

Cofondateur

Directeur général et responsable du recrutement international

514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 311

Parcours professionnel

L’excellence marque depuis toujours le parcours de Christian. Étudiant d’origine arménienne, il immigre de Turquie vers la France où il poursuit avec brio des études en génie chimique. Après quelques années dans l’industrie du caoutchouc, il se positionne comme expert, dirige des laboratoires et voyage à travers l’Europe. Il diversifie alors ses activités vers des secteurs connexes : automobile, équipements militaires et santé.

En 1999, dans le contexte trouble de la guerre du Kosovo qui a des répercussions partout en Europe, il choisit d’immigrer au Québec avec Selin, cofondatrice de PHOENIX-GMI, et leurs enfants. Il dirige les laboratoires de recherche et développement de deux entreprises sherbrookoises, cheffes de fil dans l’industrie du polymère et s’initie à la gestion des ressources humaines et à l’administration en contexte syndiqué. En parallèle avec cette carrière florissante et cette intégration réussie, il développe des approches multiculturelles pour les adapter à des formations spécialisées en lancement d’entreprise et coache de nouveaux immigrants.

Sur cet élan de soutien à la mobilité internationale, il cofonde PHOENIX-GMI et lance en parallèle un cabinet-conseil dans le domaine du caoutchouc. Sa clientèle, provenant des différentes régions du Québec, le sollicite pour le recrutement de postes variés allant de la production à la finition de produits en passant par les procédés de qualité.

Christian fait aujourd’hui œuvre de médiateur interculturel. Il est LA personne qui excelle à orchestrer les solutions de recrutement international qui permettent d’une part, à nombre d’entreprises québécoises, de résoudre leur pénurie de main-d’œuvre et d’autre part, à de nombreux travailleurs spécialisés, de vivre leur rêve d’immigration au Québec.