Télécharger GRATUITEMENT le livre : Les stratégies gagnantes pour recruter LES PERLES RARES à l’international

Immigrer en famille au Québec, choix ou opportunité ?

De nombreuses familles choisissent d’immigrer au Québec

Alors que nous entrions dans le mois de février et que la Saint-Valentin approchait à grands pas, nous avons pensé à toutes les familles qui avaient pu immigrer au Québec en famille grâce à l’équipe de PHOENIX-GMI, et qui allaient pouvoir, cette année, passer leur Saint-Valentin ensemble. Alors qu’au printemps dernier, de nombreuses familles devaient rejoindre celui ou celle qui travaillait déjà au Canada, la situation de la Covid a mis leur projet sur pause pendant plusieurs mois. Dans les pays d’origine de ces familles, les aéroports fermaient souvent . Les agences de biométries n’étaient plus accessibles, et les visas n’étaient plus délivrés. Certaines familles pour lesquelles nous effectuons les démarches d’immigration avaient leur dossier complet en janvier 2020.  Elles étaient prêtes à acheter leur billet d’avion, mais se sont vues fermer les portes en attendant que les restrictions sanitaires s’assouplissent. Nous imaginons le suspens qu’elles ont vécu et la joie de se retrouver quand la situation a commencé à s’améliorer ! C’est donc plein de compassion et de gratitude que nous pensons à eux, mais aussi à ceux dont le processus d’immigration pour le Québec a repris, et qui nous rejoindrons dans les prochaines semaines ou prochains mois. Car si le recrutement international est une réalisation pour un employeur qui a une vision de réussite pour son entreprise et qui la réalise en ayant une main-d’œuvre suffisante pour le soutenir dans ses rêves, l’employeur permet aussi à des individus de cœur de réaliser leurs propres rêves. Aussi, lorsque ce recrutement international est en région, c’est tout un écosystème qui bénéficie de ces familles qui arrivent, s’intègrent, participent à la vie économique et assument des emplois qui profitent à toute la communauté.

Pourquoi choisir d’immigrer au Québec en famille ?

Si nous voyons l’intérêt de l’immigration au Québec pour notre communauté, nous voulions aussi vous partager l’histoire de ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui ont tout laissé derrière eux pour rejoindre notre culture, notre mode de vie et partager nos rêves. En parlant avec certaines de ces familles et en écoutant leur histoire, nous avons constaté que c’était souvent la promesse d’une vie meilleure qui les attirait. Ils se sont fait une idée du Canada et du Québec, en particulier grâce aux reportages, aux nouvelles ou aux films qu’ils ont vus à la télévision. En venant vivre ici, les travailleurs étrangers temporaires ont validé l’image qu’ils s’étaient fait de notre pays et ont enclenché les démarches pour immigrer en famille au Québec. C’est souvent un idéal de vie qui les guidés ici. Ils parlent beaucoup de la tranquillité que la vie offre. Ils sont aussi nombreux à exprimer combien les gens sont gentils et bienveillants. Pour prendre l’exemple concret des soudeurs, qui est un métier en pénurie de main d’œuvre au Québec, ils ont fréquemment dans leurs pays d’origine des conditions de travail beaucoup plus difficiles. Ils ne trouvent pas de travail si facilement, et leur salaire leur permet difficilement d’offrir l’éducation qu’ils souhaiteraient à leurs enfants. Immigrer en famille au Québec, pour beaucoup, c’est avant tout offrir à leurs enfants la possibilité de réaliser tout leur potentiel. Certains pays dont sont originaires les travailleurs étrangers temporaires ont un régime politique moins stable que le nôtre, un système scolaire de qualité moins accessible, des difficultés économiques, ou encore des barrières à l’entrée pour certains métiers. Pour ces parents qui viennent au Québec, tous les espoirs sont permis pour leurs enfants, et on sent comme cela est un moteur pour eux.

Comment s’est créé l’opportunité d’immigrer en famille au Québec ?

Ces 3 dernières années, chez PHOENIX-GMI, c’est plus de 500 familles pour qui nous avons effectué l’immigration au Québec. C’est aussi plus de 750 travailleurs étrangers temporaires pour qui nous avons effectué les démarches d’immigration et que nous avons souvent connus lors de nos missions de recrutement international. Ce n’est qu’un début et nous sommes ravis pour eux de voir leurs rêves se réaliser ! Mais, nous savons pour autant qu’il y a, comme on dit, “beaucoup d’appelés et peu d’élus”. Alors comment ceux qui sont désormais travailleurs étrangers temporaires ont-ils perçu cette opportunité d’immigrer en famille au Québec ? On constate qu’habituellement, alors qu’ils étaient encore dans leur pays d’origine, c’est en parlant entre collègues ou entre amis des contraintes de vie qu’ils ont apprise que certains métiers étaient en pénurie de main-d’œuvre au Canada, et que les entreprises canadiennes concernées recrutaient à l’international. Carlos, un travailleur étranger temporaire dont la famille a pu le rejoindre récemment grâce à l’aide de PHOENIX-GMI, nous confiait qu’une fois qu’il a réalisé que son profil avait des chances d’être sélectionné au Québec, il “y a pensé de plus en plus”. Il en a parlé avec sa femme et ils se sont entendus pour dire que ce seraient une belle opportunité qui règlerait plusieurs de leurs défis. Ils avaient validé l’idée d’immigrer en famille au Québec dès son recrutement et toute leur expérience leur a confirmé leur choix depuis. Camilo, un autre travailleur étranger temporaire qui aura la chance de fêter la St-Valentin avec son épouse, n’a pas encore d’enfant. Eux aussi souhaitaient une immigration en couple, mais ils se sont donnés le temps de voir comment Camilo se sentait au Canada. Au bout de trois mois, il a confirmé à son épouse : “je lui ai parlé du fonctionnement ici au Canada et elle était intéressée à venir tenter l’expérience”. Juste après “sans perdre de temps”, il a entrepris les démarches avec PHOENIX-GMI pour qu’elle le rejoigne. Dans un cas comme dans l’autre, c’est parce que le couple voyait au Canada un avenir meilleur et la possibilité de se réaliser pour chacun d’eux qu’ils ont démarré les démarches d’immigration. Ils étaient alors prêts à rejoindre le processus.

Comment planifier l’immigration en famille au Québec ?

À partir du moment où le travailleur étranger temporaire est recruté et décide de faire venir sa famille, il a besoin d’une agence d’immigration. PHOENIX-GMI offre ces services d’immigration aux familles, mais les entreprises n’en ont pas toujours connaissance. Le travailleur étranger temporaire, lui, ne sait pas nécessairement vers qui se diriger pour réaliser les démarches d’immigration. Une fois entre les mains d’une bonne agence d’immigration, les démarches s’enchaînent. Cela devient alors parfois un vrai parcours du combattant pour ces familles qui veulent immigrer. Pour certaines d’entre elles, le test de biométrie était à près de 20h de route de leur domicile. Nous vous laissons imaginer la logistique et les frais à considérer. En période de Covid, les complications évidemment étaient plus nombreuses. Carlos nous dit : “c’était très compliqué, je me suis posé beaucoup de questions pour tout résoudre”. Il doit en effet trouver un appartement alors qu’il est colocation avec un collègue de travail, trouver une solution pour aller chercher sa famille à l’aéroport, etc. Finalement, comme il le résume, “pour un problème, il y a un million de solutions”. Il est donc très heureux d’avoir eu confiance en lui et en la vie, et d’avoir dépassé ses difficultés une à une. Pour lui comme pour tous les autres, cela en valait la peine, et peut-être même que les difficultés relevées donnent à cette aventure un goût encore meilleur ?

L’attente, incontournable pour l’immigration en famille, surtout en période Covid

Si les préparatifs apportent leur lot de surprises, les travailleurs étrangers temporaires qui ont été rejoints par leur famille ont tous noté combien il fait du bien de se retrouver après toute cette attente. Selon ceux, cette période a été la moins facile, mais on comprend surtout que l’incertitude liée à la durée des restrictions sanitaires y était pour beaucoup. “L’attente, ça a été dur, au début tout marchait bien. Au moment de faire la biométrie, c’est allé vite. Mais malheureusement, après, on est tombé dans la pandémie et ça a été dur, car on n’avait pas de date de fin des restrictions. Neuf mois d’attente avant que le processus recommence normalement ; il y a des moments de découragement à se demander ce qui allait se passer après” nous dit Camilo. Effectivement, la situation sanitaire internationale est arrivée au moment où Carlos et Camilo allaient voir leur famille embarquer. Heureusement, le téléphone était là pour rester en contact avec la famille à distance, et la situation n’était que temporaire. Il faut savoir que hors période Covid, les délais sont beaucoup plus rapides. Une fois la biométrie effectuée et le visa obtenu, la famille peut immigrer au Québec très rapidement. Comme le dit Camilo, “la vie est revenue à lui” à la réouverture des frontières. Et pour conclure, il conseille “ne vous découragez pas et suivez toujours votre voie, visez votre objectif et suivez-le sans relâche !

Les retrouvailles et les projets de vie à venir

Une fois les frontières ouvertes, les travailleurs étrangers temporaires retiennent que les retrouvailles ont été fortes. Ils étaient évidemment très heureux de se retrouver et ce souvenir les marquera longtemps ! Pour la famille, c’est un grand changement, il y a le froid auquel s’acclimater, quand on arrive en hiver. Mais le fait que leur mari, ou leur femme, soit arrivé avant le reste de la famille et se soit déjà acclimaté leur donne des repères précieux. Pour ceux qui ne sont pas francophones, la question de la langue est cruciale, elle donne accès à l’acculturation et elle permet de s’organiser pour le quotidien. Elle est aussi et surtout la porte d’entrée pour le travail et pour la résidence permanente. Les travailleurs et leurs épouses sont très enthousiastes d’apprendre le français. Ils apprennent vite et sont impatients de maîtriser la langue ! Mais quand on leur demande quels sont leurs projets, ils nous parlent de leurs enfants, présents ou à venir, de la chance qu’ils ont d’avoir un futur ici. Ils se réjouissent aussi que le système soit pensé pour leur donner une vie confortable, avec de bonnes écoles et la santé accessibles, un bon travail et une qualité de vie. Et comme ils aiment notre pays, ils s’activent à construire les conditions pour obtenir la résidence permanente afin d’avoir l’assurance de rester. Ce sera alors pour nous une autre occasion de leur permettre d’amener leurs rêves plus loin ! PHOENIX-GMI offre des services en recrutement international et en immigration pour les entreprises québécoises et canadiennes, et les candidats voulant réaliser un projet de vie au Canada. Notre équipe pluridisciplinaire, rigoureuse et dévouée, met en place des stratégies concrètes et personnalisées pour ses clients.
PHOENIX-GMI offre des services en recrutement international et en immigration pour les entreprises québécoises et canadiennes, et les candidats voulant réaliser un projet de vie au Canada. Notre équipe pluridisciplinaire, rigoureuse et dévouée, met en place des stratégies concrètes et personnalisées pour ses clients.

Partagez cet article

Selin Deravedisyan-Adam Cofondatrice Directrice de l’immigration et experte-conseil en mobilité internationale

Selin Deravedisyan-Adam

Cofondatrice

Directrice de l’immigration
et experte-conseil en mobilité internationale

[email protected]
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 312

Parcours professionnel

Femme de terrain, pionnière et passionnée, Selin consacre sa carrière à la mobilité internationale depuis 1993. Sa vaste expertise et la crédibilité que le marché lui accorde puisent dans son histoire familiale. Elle-même enfant de l’immigration, elle est passée de la Turquie à la France, puis une fois adulte, de la France au Québec. Elle a baigné tôt dans l’administration, le travail social et la linguistique qui sont le propre des travailleurs qui soutiennent l’immigration.

Mariée en France à l’âge de 20 ans avec Christian, cofondateur de PHOENIX-GMI, elle immigre pour une deuxième fois et choisit la Ville de Sherbrooke au Québec comme terre d’accueil en 1999. Elle collabore à cette époque avec l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke puis est invitée par le ministère de l’Éducation à donner un cours aux adultes sur le lancement d’entreprises. En parallèle, elle développe son entreprise en mobilité internationale qui deviendra PHOENIX-GMI en 2013.

Dès 2008, Selin est consultante réglementée en immigration canadienne et obtient par la suite sa licence pour la province de Québec. Elle se positionne comme une référence en matière des statuts basés sur les permis de travail tant au Québec qu’au Canada. Québec International, un organisme paragouvernemental œuvrant dans la région de Québec et de Chaudière-Appalaches, lui demande de jouer les rôles d’experte-conseil, de formatrice, de participante à des tables de concertation et d’agente de développement stratégique auprès de ses membres.

En 2018, elle est élue présidente de l’Association canadienne des conseillers professionnels en immigration pour le Québec. Cette nouvelle fonction l’amène à travailler directement avec les autorités d’immigration fédérale et provinciale, tout en s’assurant que la profession soit éthiquement et dignement représentée.

Aujourd’hui, elle initie son équipe aux procédures de recrutement international et de soutien à l’immigration. De surcroit, elle vit au quotidien son rêve d’aider des gens de tous les continents à vivre une immigration et une intégration sereines dans la société québécoise.

Christian H. Adam Cofondateur Directeur général et responsable du recrutement international

Christian H. Adam

Cofondateur

Directeur général et responsable du recrutement international

514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 311

Parcours professionnel

L’excellence marque depuis toujours le parcours de Christian. Étudiant d’origine arménienne, il immigre de Turquie vers la France où il poursuit avec brio des études en génie chimique. Après quelques années dans l’industrie du caoutchouc, il se positionne comme expert, dirige des laboratoires et voyage à travers l’Europe. Il diversifie alors ses activités vers des secteurs connexes : automobile, équipements militaires et santé.

En 1999, dans le contexte trouble de la guerre du Kosovo qui a des répercussions partout en Europe, il choisit d’immigrer au Québec avec Selin, cofondatrice de PHOENIX-GMI, et leurs enfants. Il dirige les laboratoires de recherche et développement de deux entreprises sherbrookoises, cheffes de fil dans l’industrie du polymère et s’initie à la gestion des ressources humaines et à l’administration en contexte syndiqué. En parallèle avec cette carrière florissante et cette intégration réussie, il développe des approches multiculturelles pour les adapter à des formations spécialisées en lancement d’entreprise et coache de nouveaux immigrants.

Sur cet élan de soutien à la mobilité internationale, il cofonde PHOENIX-GMI et lance en parallèle un cabinet-conseil dans le domaine du caoutchouc. Sa clientèle, provenant des différentes régions du Québec, le sollicite pour le recrutement de postes variés allant de la production à la finition de produits en passant par les procédés de qualité.

Christian fait aujourd’hui œuvre de médiateur interculturel. Il est LA personne qui excelle à orchestrer les solutions de recrutement international qui permettent d’une part, à nombre d’entreprises québécoises, de résoudre leur pénurie de main-d’œuvre et d’autre part, à de nombreux travailleurs spécialisés, de vivre leur rêve d’immigration au Québec.