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Parler Français pour Immigrer au Québec: Les Nouvelles Règles du Jeu.

Après trois semaines de consultations intensives et de débats parlementaires sur la planification pluriannuelle et la politique d’immigration du Québec, un consensus a été atteint : l’immigration est désormais considérée comme un levier crucial pour relever les défis économiques et sociaux au cœur d’une société profondément francophone et pour garantir son avenir. 

Parler Français pour Immigrer au Québec Quels sont les Changements

Marquez d’une pierre blanche la date du 23 novembre 2023 ! C’est à cette date que les modifications réglementaires seront mises en œuvre progressivement. 

PRTQ versus PSTQ 

Pour rappel, le Programme régulier des travailleurs qualifiés (PRTQ) évoluera en Programme de sélection des travailleurs qualifiés (PSTQ). Les nouvelles catégories ne seront lancées toutefois qu’à partir du 24 novembre 2024. La proposition d’un âge limite de 55 ans pour les candidats a été écartée.

En revanche, l’obligation de passer un test de français deviendra une condition sine qua non pour tous les postulants. Jusqu’à l’introduction du nouveau programme, le système actuel de déclaration d’intérêt restera en place.

Ce temps permettra probablement au MIFI de reviser minutieusement les procédures internes, les GPI et une formation adéquate de ses agents à ces nouvelles méthodes d’évaluation, qui remplaceront de surcroît la grille de sélection actuelle avec 4 différentes catégories. 

Seuils d’immigration et PEQ Étudiants 

Le gouvernement a opté pour une stratégie hybride en ce qui concerne les seuils d’immigration, les fixant à 50 000 nouveaux arrivants par an. Par ailleurs, les diplômés du système d’éducation québécois, qui font partie du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), seront comptabilisés en plus de ce quota. À partir de novembre 2024, les étudiants devront effectuer leurs études en français pour répondre aux exigences du programme. 

Pour nos diplômés, c’est une avancée positive puisqu’ils étaient soumis depuis juillet 2021 à des critères renforcés au sein du PEQ, exigeant une expérience professionnelle de 12 à 18 mois selon leur domaine d’étude. À partir du 23 novembre 2023, la condition de justifier d’une expérience de travail sera levée, rétablissant ainsi les critères originaux du programme, pour le moment. 

Travailleurs étrangers temporaires avec CAQ : parlez-vous français ? 

Concernant les travailleurs étrangers présents au Québec depuis trois ans dans le cadre du programme des travailleurs étrangers temporaires (avec EIMT/CAQ, hors secteur agricole), le MIFI exigera, dès le 23 novembre 2023, une preuve de compétence en français oral de niveau 4 pour le renouvellement des permis de travail.

Cette exigence soulève une interrogation cruciale et non résolue : s’appliquera-t-elle uniquement aux permis délivrés après cette date ou également à ceux en cours ? Cette ambiguïté génère de l’anxiété parmi les employeurs, les candidats et leurs familles.

Il faudra que le MIFI donne le plus vite possible des précisions sur les critères afin que les demandes puissent être préparés en conséquence et surtout les employeurs et travailleurs avertis. A noter enfin que les employeurs auront également à s’engager en allouant à leurs employés, par exemple, des créneaux horaires pour apprendre le français pendant les heures normales de travail.  

Justement, ce niveau 4 correspond-il à un niveau A2 ? Non, il se situe plutôt au niveau B1 du CECR, intermédiaire. Un niveau A2 aurait été équivalent à un NCLC 2 ou 3. Ainsi, atteindre le niveau B1 exige un apprentissage régulier et sérieux du français, même si seules les compétences orales seront évaluées. 

Nouveau chapitre dans l’histoire de l’immigration au Québec 

La conférence de presse du 1er novembre 2023, animée par nos ministres M. Legault, Mme Fréchette et M. Roberge, a marqué un changement politique majeur en matière d’immigration, une initiative historique comme ils le citent à multiple reprises, et nous appelle tous à devenir des acteurs actifs de ces changements. 

Chez PHOENIX-GMI, nous nous y préparons depuis trois ans, en ciblant des pays sources pour le recrutement et en travaillant sur l’intégration, soulignant l’importance du français dans notre vie quotidienne au Québec.

Apprendre une langue pour immigrer est crucial, mais comprendre pourquoi l’expression française est fondamentale pour le Québec ajoute une dimension supplémentaire. C’est ce “petit plus”, ce grain de sel, qui enrichira le goût de notre société. 

Lien de la conférence de presse : https://youtu.be/-7lDYviXLRo?si=486yvdOGKZb1PwO5 

Selin Deravedisyan-Adam Cofondatrice Directrice de l’immigration et experte-conseil en mobilité internationale

Selin Deravedisyan-Adam

Cofondatrice

Directrice de l’immigration
et experte-conseil en mobilité internationale

[email protected]
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 312

Parcours professionnel

Femme de terrain, pionnière et passionnée, Selin consacre sa carrière à la mobilité internationale depuis 1993. Sa vaste expertise et la crédibilité que le marché lui accorde puisent dans son histoire familiale. Elle-même enfant de l’immigration, elle est passée de la Turquie à la France, puis une fois adulte, de la France au Québec. Elle a baigné tôt dans l’administration, le travail social et la linguistique qui sont le propre des travailleurs qui soutiennent l’immigration.

Mariée en France à l’âge de 20 ans avec Christian, cofondateur de PHOENIX-GMI, elle immigre pour une deuxième fois et choisit la Ville de Sherbrooke au Québec comme terre d’accueil en 1999. Elle collabore à cette époque avec l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke puis est invitée par le ministère de l’Éducation à donner un cours aux adultes sur le lancement d’entreprises. En parallèle, elle développe son entreprise en mobilité internationale qui deviendra PHOENIX-GMI en 2013.

Dès 2008, Selin est consultante réglementée en immigration canadienne et obtient par la suite sa licence pour la province de Québec. Elle se positionne comme une référence en matière des statuts basés sur les permis de travail tant au Québec qu’au Canada. Québec International, un organisme paragouvernemental œuvrant dans la région de Québec et de Chaudière-Appalaches, lui demande de jouer les rôles d’experte-conseil, de formatrice, de participante à des tables de concertation et d’agente de développement stratégique auprès de ses membres.

En 2018, elle est élue présidente de l’Association canadienne des conseillers professionnels en immigration pour le Québec. Cette nouvelle fonction l’amène à travailler directement avec les autorités d’immigration fédérale et provinciale, tout en s’assurant que la profession soit éthiquement et dignement représentée.

Aujourd’hui, elle initie son équipe aux procédures de recrutement international et de soutien à l’immigration. De surcroit, elle vit au quotidien son rêve d’aider des gens de tous les continents à vivre une immigration et une intégration sereines dans la société québécoise.

Christian H. Adam Cofondateur Directeur général et responsable du recrutement international

Christian H. Adam

Cofondateur

Directeur général et responsable du recrutement international

514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 311

Parcours professionnel

L’excellence marque depuis toujours le parcours de Christian. Étudiant d’origine arménienne, il immigre de Turquie vers la France où il poursuit avec brio des études en génie chimique. Après quelques années dans l’industrie du caoutchouc, il se positionne comme expert, dirige des laboratoires et voyage à travers l’Europe. Il diversifie alors ses activités vers des secteurs connexes : automobile, équipements militaires et santé.

En 1999, dans le contexte trouble de la guerre du Kosovo qui a des répercussions partout en Europe, il choisit d’immigrer au Québec avec Selin, cofondatrice de PHOENIX-GMI, et leurs enfants. Il dirige les laboratoires de recherche et développement de deux entreprises sherbrookoises, cheffes de fil dans l’industrie du polymère et s’initie à la gestion des ressources humaines et à l’administration en contexte syndiqué. En parallèle avec cette carrière florissante et cette intégration réussie, il développe des approches multiculturelles pour les adapter à des formations spécialisées en lancement d’entreprise et coache de nouveaux immigrants.

Sur cet élan de soutien à la mobilité internationale, il cofonde PHOENIX-GMI et lance en parallèle un cabinet-conseil dans le domaine du caoutchouc. Sa clientèle, provenant des différentes régions du Québec, le sollicite pour le recrutement de postes variés allant de la production à la finition de produits en passant par les procédés de qualité.

Christian fait aujourd’hui œuvre de médiateur interculturel. Il est LA personne qui excelle à orchestrer les solutions de recrutement international qui permettent d’une part, à nombre d’entreprises québécoises, de résoudre leur pénurie de main-d’œuvre et d’autre part, à de nombreux travailleurs spécialisés, de vivre leur rêve d’immigration au Québec.