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Le recrutement international pour contrer la pénurie de main-d’œuvre au Québec

Le recrutement international est-il toujours un bon choix au Québec?

Si bon nombre d’employés ont été mis à pied depuis mars 2020, de nombreux secteurs sont toujours en pénurie de main-d’œuvre.

La Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ) précisait d’ailleurs à Ici Radio-Canada la semaine dernière que le taux de chômage de la région était revenu à ce qu’il était avant la pandémie, soit 4.1%. En région, il se porte bien aussi, citons par exemple Chaudière-Appalaches à 4,4 % en et le Bas-Saint-Laurent à 4,8 %.

Même les effets de la fermeture des commerces essentiels sur le chômage ne dureront pas, car les réouvertures prochaines devraient rapidement ramener le taux très bas.

Si certains secteurs sont davantage touchés par le chômage, comme dans l’hôtellerie; d’autres secteurs sont en pénurie de main-d’œuvre, et cela freine le développement de leur secteur. L’Association de la construction du Québec (ACQ) et les Manufacturiers & Exportateurs du Québec (MEQ) ont l’un et l’autre remis un mémoire au gouvernement dans les derniers jours. Ils y expliquent, entre autre, l’importance de dépasser les enjeux de pénurie de main-d’œuvre pour amorcer la relance économique.

Nous aurions pu penser que le ralentissement de l’économie en 2020 libèrerait des postes, mais les employés qui ont perdu leur emploi en ont retrouvé un autre rapidement ensuite. D’autres employés ne veulent pas, ou ne peuvent pas retourner en poste pour des raisons de santé. Certains en ont aussi profité pour changer de carrière. Les employeurs remarquent également une certaine difficulté à mobiliser des employés qui pourraient bénéficier de la PCU sans travailler.

L’espoir des employeurs de trouver leurs employés au Québec

D’un autre côté, nombreux sont les employeurs qui s’accrochent à chercher leurs employés parmi les candidats présents sur le sol canadien. Effectivement, ces derniers connaissent déjà la culture et les lois du travail. Ils peuvent aussi arriver immédiatement, voire en quelques semaines, sur leur nouveau lieu de travail. Si l’on trouve rapidement un nouvel employé de cette manière-là, il est possible de gagner du temps et éventuellement de l’argent sur la démarche de recrutement. Mais y a-t-il des candidats pour tous?

Bien entendu, il est absolument primordial de privilégier les employés qui sont déjà au Canada, car il est important de garantir l’emploi à nos concitoyens avant d’encourager la main-d’œuvre étrangère à venir.

D’ailleurs, dans le processus de recrutement international, il est fondamental, pour bons nombres de postes, de démontrer que l’on a raisonnablement cherché un employé parmi les candidats canadiens. C’est souvent indispensable pour être autorisé par le gouvernement à recruter un candidat étranger.

Mais finalement, malgré la bonne volonté des employeurs, force est de constater que sur certains emplois, comme notamment les soudeurs, les mécaniciens, ou les métiers des techniques de l’information, il y a beaucoup de postes vacants. Ces postes ont beau être importants pour notre économie canadienne, il y a insuffisamment de candidats sur le sol canadien, qui soit à la fois compétents et motivés, pour les combler tous.

La question des restrictions liées à la Covid

Maintenant, quand on pense au recrutement international au Québec, nous ne pouvons ignorer le contexte des voyages et de leurs restrictions sanitaires. Nous en parlions encore il y a peu. Certaines difficultés organisationnelles ont dû être relevées lors de la mise en place des tests Covid préembarquement. Ces restrictions suivaient elles-mêmes la mise en place de la quarantaine et elles seront bientôt suivies par les tests pro-arrivées, effectués à l’aéroport, et dont les résultats pourraient être attendus dans des hôtels réquisitionnés pour l’occasion.

Effectivement, c’est une préoccupation pour certains employeurs.

Les premiers mois qui ont suivi le début des confinements un peu partout autour de la planète, il s’est créé des situations où les candidats étrangers ne pouvaient rejoindre le Canada, soit parce que les aéroports ou les agences de biométrie étaient fermés ou que les pays d’origine ne délivraient momentanément plus de visa. Ces démarches ont pu retarder ces arrivées. Heureusement tous nos candidats peuvent à nouveau revenir progressivement, et ce depuis plusieurs mois. Nous remercions au passage les employeurs qui ont été si patients et compréhensifs envers la situation.

Ces relations privilégiées avec les employeurs ont facilité la communication et les entreprises ont pu s’appuyer sur les équipes de Phoenix GMI pour gérer la situation logistique et faire les suivis de ces démarches alourdies. Notre connaissance du terrain à différents niveaux (pays des candidats, employeurs et fonctionnement de notre gouvernement) nous a d’ailleurs permis de faire les démarches nécessaires. Et nos équipes pluridisciplinaires ont aussi été une formidable ressource, pouvant coordonner rapidement les différentes dimensions de ces enjeux impliquant tant d’acteurs différents.

Heureusement maintenant, le plus dur est derrière nous, le gouvernement réfléchit même à accorder de la souplesse pour les travailleurs étrangers temporaires. La situation est donc vraiment favorable.

Nous pouvons même commencer à envisager sereinement une fin prochaine, bien que progressives, à ces restrictions. La situation de la Covid est de plus en plus sous contrôle. Le nombre de nouveaux cas quotidien au Québec, en date du 5 février 2020, est actuellement revenu à celui d’octobre. Les nouvelles hospitalisations et les admissions en soins intensifs sont également en baisse, et les campagnes de vaccination sont progressivement en cours.

C’est donc plutôt une belle opportunité de considérer le recrutement international ! Les difficultés étant en train de diminuer graduellement, elles seront totalement résorbées lorsqu’il sera le temps d’accueillir les candidats qui sont en train d’être recrutés.

Les enjeux gouvernementaux qui favorisent le recrutement international au Québec

De son côté, le gouvernement a bien compris les enjeux du recrutement international.

Il a d’une part pris à cœur la question de la pénurie de main-d’œuvre soulevée par des associations professionnelles, comme celle des manufacturiers et de la construction. Il vient en effet de créer un Groupe interministériel d’intervention gouvernementale en matière de rareté de la main-d’œuvre à la mi-janvier. Et celui-ci regroupe 5 ministères, dont bien sûr, celui de l’immigration.

Par ailleurs, il n’a jamais arrêté de promouvoir le recrutement international, et bien au contraire a mis les bouchées doubles pour accompagner à sa façon les employeurs faisant face à la pénurie de main-d’œuvre.

Les enjeux sont majeurs pour lui, car si le problème persiste pendant une pandémie, les répercussions et l’aggravation de la situation seront exponentielles lorsque les moteurs économiques reprendront le dessus. Il sera alors impossible de tourner à pleine capacité, à cause du manque de main-d’œuvre.

Le recrutement international au Québec, sous quelle forme ?

Vous l’aurez compris, les restrictions de la Covid ne sont pas un problème majeur à la venue des futurs candidats. Il faut juste adapter notre logistique à cette situation transitoire.

Alors qu’il était courant de se rendre dans le pays d’origine de nos candidats avant mars 2020, les missions sont depuis devenues grandement virtuelles, et cette tendance devrait demeurer sur une partie de 2021. Cela dit, même pour un recrutement auprès de candidats déjà présents sur le sol canadien ou québécois, ce sera aussi la formule privilégiée !

Pour recruter à l’international, il existe différentes formules. Mais une agence de recrutement international qui a à cœur d’être un réel partenaire dans votre réussite vous proposera un service très individualisé. Chez Phoenix GMI nous offrons aux employeurs de recruter des candidats dans un pays où la culture est non seulement compatible avec celle de votre entreprise, mais où la culture permettra également une intégration facile dans la communauté où est implantée votre entreprise. Le choix se portera essentiellement sur un candidat dont les compétences et les connaissances correspondent au profil de poste. Mais il devra aussi porter sur le savoir-être du candidat, afin de garantir autant l’intégration dans votre entreprise que dans notre pays.

Pour réussir votre recrutement international au Québec, vous devriez aussi pouvoir compter sur une agence qui gère pour vous la réalisation de tests techniques à distance, et qui valide les réelles compétences de vos candidats.

Puisque les missions virtuelles ne facilitent pas l’immersion dans la culture du pays d’origine du candidat de la même manière qu’une mission réelle, une entreprise consciencieuse offrira ce service en sensibilisant les employeurs sur le contexte et l’approche culturels des travailleurs étrangers temporaires selon le bassin géographique de recrutement. En effet, un bon conseiller connait mieux que quiconque cette culture et lors de la présélection, l’adaptation du candidat dans un nouvel environnement culturel est évaluée à même titre que ses compétences professionnelles.

Certains se demanderont peut-être aussi s’il est toujours possible de réaliser des missions réelles.

Effectivement, malgré les annonces du gouvernement de restreindre les voyages, certains employeurs préfèrent tout de même se déplacer en mission pour rencontrer et finaliser les tests techniques. Et cela est toujours possible dans le contexte actuel. Il faudra en revanche braver les quarantaines imposées et toutes les autres restrictions, mais cette mesure garantit une immersion culturelle profonde auprès des candidats.

Dans un cas comme dans l’autre, avec une agence de recrutement internationale structurée comme Phoenix GMI, comptez de 2 à 8 mois et vous aurez vos candidats prêts à garantir vos opérations.

Mettre en place un recrutement international dès maintenant est un gain majeur. En effet, les employeurs qui démarrent actuellement leurs démarchent seront les premiers à accueillir leurs nouveaux employés. Ils seront aussi les premiers à garantir les commandes à leurs clients dans les prochains mois. Les autres commenceront alors à peine à sortir de leur léthargie !

Recruter à l’international, pour une production débridée au Québec

Plus que jamais, le recrutement international est d’actualité. La disponibilité des employés sur le sol canadien est malheureusement insuffisante pour pourvoir tous les postes vacants.

Le rebond de l’économie s’est pourtant déjà amorcé, et le taux de chômage qui a progressivement remonté avec la fermeture des commerces essentiels va bientôt redescendre à la normale dans beaucoup de régions. Lorsque l’économie va repartir à plein régime, chaque entreprise devrait pouvoir tourner à pleine capacité de production. C’est le seul moyen pour s’emparer des contrats qui ne manqueront pas.

Le gouvernement, de son côté, fait de son mieux pour permettre la continuité de cette solution à laquelle il croit. Il l’encourage d’ailleurs fortement, notamment grâce à des subventions pour les employeurs. Prendre en charge dès maintenant ses besoins en personnel pour soutenir les équipes d’opération et garantir la production de ses futures commandes, c’est permettre à l’économie du Québec de se remettre rapidement sur pied. Mais c’est aussi prendre un train d’avance en s’assurant un incroyable avantage concurrentiel.

Phoenix GMI offre des services en recrutement international et en immigration pour les entreprises québécoises et canadiennes, et les candidats voulant réaliser un projet de vie au Canada.

Notre équipe pluridisciplinaire, rigoureuse et dévouée, met en place des stratégies concrètes et personnalisées pour ses clients.


PHOENIX-GMI offre des services en recrutement international et en immigration pour les entreprises québécoises et canadiennes, et les candidats voulant réaliser un projet de vie au Canada.

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Selin Deravedisyan-Adam Cofondatrice Directrice de l’immigration et experte-conseil en mobilité internationale

Selin Deravedisyan-Adam

Cofondatrice

Directrice de l’immigration
et experte-conseil en mobilité internationale

[email protected]
514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 312

Parcours professionnel

Femme de terrain, pionnière et passionnée, Selin consacre sa carrière à la mobilité internationale depuis 1993. Sa vaste expertise et la crédibilité que le marché lui accorde puisent dans son histoire familiale. Elle-même enfant de l’immigration, elle est passée de la Turquie à la France, puis une fois adulte, de la France au Québec. Elle a baigné tôt dans l’administration, le travail social et la linguistique qui sont le propre des travailleurs qui soutiennent l’immigration.

Mariée en France à l’âge de 20 ans avec Christian, cofondateur de PHOENIX-GMI, elle immigre pour une deuxième fois et choisit la Ville de Sherbrooke au Québec comme terre d’accueil en 1999. Elle collabore à cette époque avec l’Institut d’entrepreneuriat de l’Université de Sherbrooke puis est invitée par le ministère de l’Éducation à donner un cours aux adultes sur le lancement d’entreprises. En parallèle, elle développe son entreprise en mobilité internationale qui deviendra PHOENIX-GMI en 2013.

Dès 2008, Selin est consultante réglementée en immigration canadienne et obtient par la suite sa licence pour la province de Québec. Elle se positionne comme une référence en matière des statuts basés sur les permis de travail tant au Québec qu’au Canada. Québec International, un organisme paragouvernemental œuvrant dans la région de Québec et de Chaudière-Appalaches, lui demande de jouer les rôles d’experte-conseil, de formatrice, de participante à des tables de concertation et d’agente de développement stratégique auprès de ses membres.

En 2018, elle est élue présidente de l’Association canadienne des conseillers professionnels en immigration pour le Québec. Cette nouvelle fonction l’amène à travailler directement avec les autorités d’immigration fédérale et provinciale, tout en s’assurant que la profession soit éthiquement et dignement représentée.

Aujourd’hui, elle initie son équipe aux procédures de recrutement international et de soutien à l’immigration. De surcroit, elle vit au quotidien son rêve d’aider des gens de tous les continents à vivre une immigration et une intégration sereines dans la société québécoise.

Christian H. Adam Cofondateur Directeur général et responsable du recrutement international

Christian H. Adam

Cofondateur

Directeur général et responsable du recrutement international

514 903 9959 ou
418 476 8381 – poste 311

Parcours professionnel

L’excellence marque depuis toujours le parcours de Christian. Étudiant d’origine arménienne, il immigre de Turquie vers la France où il poursuit avec brio des études en génie chimique. Après quelques années dans l’industrie du caoutchouc, il se positionne comme expert, dirige des laboratoires et voyage à travers l’Europe. Il diversifie alors ses activités vers des secteurs connexes : automobile, équipements militaires et santé.

En 1999, dans le contexte trouble de la guerre du Kosovo qui a des répercussions partout en Europe, il choisit d’immigrer au Québec avec Selin, cofondatrice de PHOENIX-GMI, et leurs enfants. Il dirige les laboratoires de recherche et développement de deux entreprises sherbrookoises, cheffes de fil dans l’industrie du polymère et s’initie à la gestion des ressources humaines et à l’administration en contexte syndiqué. En parallèle avec cette carrière florissante et cette intégration réussie, il développe des approches multiculturelles pour les adapter à des formations spécialisées en lancement d’entreprise et coache de nouveaux immigrants.

Sur cet élan de soutien à la mobilité internationale, il cofonde PHOENIX-GMI et lance en parallèle un cabinet-conseil dans le domaine du caoutchouc. Sa clientèle, provenant des différentes régions du Québec, le sollicite pour le recrutement de postes variés allant de la production à la finition de produits en passant par les procédés de qualité.

Christian fait aujourd’hui œuvre de médiateur interculturel. Il est LA personne qui excelle à orchestrer les solutions de recrutement international qui permettent d’une part, à nombre d’entreprises québécoises, de résoudre leur pénurie de main-d’œuvre et d’autre part, à de nombreux travailleurs spécialisés, de vivre leur rêve d’immigration au Québec.